Cela fait un moment que je bave d’envie devant les line up des party Qué Bajo!
Geko Jones est l’un des principaux activistes derrière ces soirées orientées tropical bass bien matinées de latinité. De ses ballades à travers le monde Geko Jones ramène des influences, des collaborations, de l’inspiration. Il est aussi un Dutty Artz soldier.
Danser, du bal et du dancefloor
Geko Jones possède un sacré pédigrée vous le comprenez et ses sets respirent la curiosité, le métissage et ont une fâcheuse tendance à provoquer l’affranchissement de la pesanteur ; ce qui se traduit en 1er lieu par un symptôme très simple : vos pieds se mettent à toucher le sol de manière alternée.
J’aime bien ses sets parce qu’ils mêlent des tracks pour danser à deux, cette ambiance de bal, un truc que l’on connaissais ici aussi en France avec les bals musette. Je crois fermement à ce partage de la danse, du rythme partagé.
Ce que j’apprécie aussi dans cette scène nu tropical se love dans le creux de la danse. On peut facilement danser seul en mode ravey mais aussi à deux. Geko Jones l’illustre avec une sélection moombahton, dembow, boombahchero, kuduro, ossature de The Que Cojones Mixtape.