De l’art de prêcher le faux

Philippe Astor s’insurge une fois de plus contre la manière avec laquelle l’industrie musicale présente la chute des ventes de disques.
Une nouvelle étude parue en Grande-Bretagne commandée par la BPI (British Phonographic Industry) afin de mettre en lumière les pertes de chiffre d’affaire subies par ses adhérents du fait de l’échange de fichiers musicaux via les réseaux P2P (peer-to-peer). Le journaliste s’attache à démonter méthodiquement les arguments avancés dans l’étude en question en apportant l’essentiel, c’est à dire le contexte dans lequel cette étude a été effectuée :

  • une mise en perspective historique
  • des chiffres issus des communiqués de l’industrie musicale elle-même
  • une analyse technique pour différencier chiffre d’affaire en volume ou chiffre d’affaire en valeur

Pour appuyer sa première remarque qui porte sur la fiabilité de l’étude en elle-même, j’ajouterai que lorsqu’un un organisme privé commande une étude, c’est rarement pour que les conclusions se dressent contre lui…

2 réflexions au sujet de “De l’art de prêcher le faux”

  1. Chui d’accord avec P. Astor…Pas facile de faire entendre "l’autre voix" non plus…
    Sinon bien sympa ton site, je reviendrai !
    A bientôt,
    Alban

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